Pedro Campos
The paintings of Madrid based hyperrealist Pedro Campos (1966) , present a world that shines. His subjects -- aluminum coke cans, apples wrapped in plastic, glass marbles, and the spines of coffee table art books -- have an aura of glossy, sanctified perfection about them. They are hand painted essays about purity in which mundane items shock the senses with their virginal splendor.
There is something a bit "Pop" about many of Campos' images. His jars of jelly beans would appeal to Wayne Thiebaud, and his Coca-Cola cans seem to nod to Andy Warhol. Of course, Warhol famously said that Pop Art is about "liking things" and Campos is about liking, and more. With his considerable painterly skill, augmented by experience in art restoration, Campos is an artist who has meditated on deeply on the presence of things, and who in turn endows every object he paints with a hint of the metaphysical.
Represented by Plus One gallery, London
Les peintures de l'hyperréaliste madrilène Pedro Campos (1966) présentent un monde qui brille. Ses sujets - canettes de coke en aluminium, pommes enveloppées dans du plastique, billes de verre et épines de livres d'art de table - ont une aura de perfection lustrée et sanctifiée. Ce sont des travaux peints à la main traduisant la pureté des objets banals choquant les sens avec leur splendeur virginale.
Il y a quelque chose d'un peu "Pop" dans beaucoup d'images de Campos. Ses pots de bonbons à la gelée de fèves plairaient à Wayne Thiebaud, et ses canettes de Coca-Cola semblent faire un clin d'oeil à Andy Warhol. Bien sûr, Warhol a dit que le Pop Art, c'est "aimer les choses" et Campos, c'est aimer, et plus encore. Doté d'une grande habileté picturale, complétée par une expérience en restauration d'art, Campos est un artiste qui a médité profondément sur la présence des choses, et qui à son tour dote chaque objet qu'il peint d'un soupçon de métaphysique.
Représenté par la galerie Plus One, Londres